Auto bondage vibrant pour F ou H

MATÉRIEL

• Une culotte de cuir ou short solide.
• Un ou deux godes vibrants ( 2 pour une F / 1 pour un H )
• Un ou deux œufs vibrants
• Chaînette ou liens
• Pinces à seins ( Vibrantes ou non )
• Cadenas / menottes

Préparation

• Préparez votre Ice timer près du lit mais ne faites pas comme moi, soyez modeste. ( Voir texte plus bas )
• Préparez votre chaînette sous votre lit de telle façon à pouvoir lier vos chevilles d’un côté du lit et vos poignets de l’autre.
• Préparez votre matériel préféré sur le lit.
• Placez dans votre/ vos orifice(s) le(s) gode(s) vibrant(s) et enfilez votre culotte de cuir pour les maintenir en place. ( Ou autres accessoires)

Mise en place

• Attachez vos chevilles avec des liens et la chaînette.
• Agenouillez-vous sur le lit et utilisez votre matériel préféré ( Pinces à seins, bâillon boule, cagoule, ceintures et liens divers, combinaison de latex, ….. )
• Allumez les accessoires vibrants placés sur et dans les zones érogènes de votre choix.
• Attachez vos poignets avec la chaînette et le cadenas de l’autre coté du lit en ne vous laissant que très peu de liberté de mouvement.
• Laissez vibrez et mijoter en attendant que le ice timer fonde et libère vos clés.

Ice timer signifie que vos clés des menottes ou cadenas sont prises dans de la glace. La libération n’est possible que quand la glace a fondu.

Bien des plaisirs à vous,

Anonyme

Mon aventure avec mon coté prétentieux.

Comme mes ice time étaient toujours trop rapide, j’ai utilisé un gros bol que j’ai rempli à moitié et congelé. Ensuite, j’ai placé la clé sur le glaçon initial et j’ai réalisé un deuxième ice timer par dessus.

J’ai utilisé des pinces à seins puissantes et pour mon fondement un gode vibrant et rotatif. Mon dernier achat non testé en préalable. ( Je sais je suis un peu fou ) Ensuite, bien décidé à m’accorder un maximum de plaisir, j’ai attaché deux œufs vibrant autour de mon sexe déjà bien tendu.

Pour retarder encore la libération totale après la libération des mains, et également pour m’imposer des mouvements supplémentaires, je me suis enfermé dans une djellaba et saucissonné au moyen d’une longue corde.

A ce moment là, je transpirais fortement, j’étais très excité et mon cœur battait la chamade. Lorsque je me suis allongé sur le lit, les pinces m’ont broyé les tétons OUFFF mais j’ai cru que cela aller se calmer et le fait de retirer mon saucissonnage pour les changer m’a semblé dommageable pour les plaisirs de la situation érotique entreprise.

Bâillonné et cagoulé, j’ai verrouillé la chaînette et deux cadenas autour de mes poignets en prenant soin de bien tendre la chaîne pour ne pas pouvoir bouger de trop.

Si la douleur peut être agréable dans le plaisir, mon plan est devenu rapidement de l’auto t o r t u r e !

Dans un premier temps, le gode rotatif et les œufs vibrants attachés à mon sexe me procuraient de forts plaisirs mais les mouvements de mon corps dans ma recherche d’auto satisfaction écrasaient et tiraient fortement les puissantes pinces accrochées à mes tétons.

A f o r c e de bouger sur mon lit pour frotter mon sexe sur ma djellaba pendant que le gode tournait dans mon fondement et que les pinces à seins me procuraient quelques plaisirs inavouables, ou avouables au choix, sans pour autant m’emmener à la jouissance. La scène est devenue rapidement un calvaire.

Le problème est que j’avais très largement sous-estimé le temps que mettrait la glace pour fondre !

Je décidais donc pour soulager mes tétons forts douloureux de me retourner sur le dos. Cette rotation fut fort difficile et, au moment ou mon corps a basculé sur le dos, j’ai cru un instant que mes tétons s’arrachaient. En effet, mes bras étirés derrière la tête tendaient ma poitrine vers le haut et la chaîne des pinces à seins accrochée à mon sexe par un cockring tirait dans l’autre sens. OUFFF !

Pour essayer de retrouver un état d’excitation avancé, je fantasmais sur l’idée qu’une nana me donnait son minou et ses fesses à déguster en me martyrisant les tétons pendant qu’une autre v i o l a i t mon fondement avec un gode ceinture.

Malheureusement pour moi, le gode vibrant et mobile en tournant séchait le lubrifiant et commençait à chauffer mon fondement. J’avais également très largement sous-estimé la puissance des pinces à seins.

Finalement j’étais en train de m’auto v i o l e r au sens propre du terme et avec une certaine cruauté pour mes tétons.

A cet instant là, pour rajouter à la pression, j’ai entendu du bruit dans la cage d’escalier de l’immeuble où je réside seul et qui a subit plusieurs tentatives d’effraction qui n’ont pas aboutis par mes interventions.

Tirant sur ma ficelle de sécurité, j’ai pu dégager la glace retenant mes clés dans le grand bol pour l’emmener jusqu’à mes mains prisonnières. Horreur ! La glace ne fondait pas rapidement, mes doigts la griffaient pour la réduire un peu mais sans grand résultat.

Mon esprit c’est mis à gamberger comme vous vous en doutez, l’excitation avait totalement disparue, la douleur devenait intolérable, la peur d’être cambriolé et découvert ainsi en rajoutait un maximum.

Le cambriolage n’a pas eu lieu, la porte de l’immeuble a résisté, cela devait être des apprentis cambrioleurs.

Après un temps que j’ai trouvé fort long, ( 3 h 30 environ ) je suis enfin arrivé à me saisir de la clé. Sans tarder, j’ai réussi libérer un de mes poignets et arrêter les vibros mais toutes les précautions prises pour que je mette du temps pour me libérer ont bien fonctionnées. OUFFF ! OUFFF !

J’ai bien vite abandonné l’idée de retirer d’une main dans l’instant, mon saucissonnage manquant de liberté suffisante car les cordes serraient bien. Chaque mouvement ralenti par mon corps bloquant les cordes générait des douleurs intolérables à mes seins, en m’étirant les tétons OUFFF. Je suis arrivé au bout d’un temps fort long à libérer les liens de mes jambes et de mes chevilles.

Décidé à aller jusqu’au bout de mon délire, j’ai décidé de m’accorder mon petit self service sans rien retirer. Il m’a emporté au paradis des plaisirs. C’était tellement fort que j’en ai presque perdu connaissance ! ! !

En transpirant un maximum, j’ai retiré sans tarder les cordes de mon saucissonnage pour arriver à mes tétons. Avec un maximum de précaution et de lenteur je relâchais les pinces à seins, OUFFF ! ! OUFFF ! ! OUFFF !de chez OUFF!

Le retrait du gode fut quelque peu douloureux, j’ai massé aussitôt mon anus endolori d’une crème miracle que je vous recommande ( SENOFILE )

Le lendemain je suis resté nu toute la journée car mon sexe et mes tétons étaient enflammés, et je vous passe les détails de mon fondement.

Malgré tout, je recommencerai mais en dosant le ice timer avec modestie. Si je vous ai raconté ma mésaventure, c’est simplement pour vous faire part de mes idées (car pour moi les idées et astuces se partagent) et vous éclairer sur les risques éventuels mêmes sans danger réel.

Titou

COMMENTAIRE DU WEBMASTER

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